Une solution rafraîchissante pour un centre de données crucial de la ville
Contexte
Le Centre Mary-Pitt est l’un des plus grands édifices municipaux d’Ottawa. Il abrite plusieurs services de la Ville, des programmes municipaux et des services communautaires. Il comprend également une salle de serveurs énergivores qui supportent certaines des applications informatiques les plus névralgiques de la Ville.
Le défi consistait à améliorer l’efficacité énergétique et la capacité de refroidissement de la salle de serveurs sans perturber les opérations TI. Cependant, les méthodes traditionnelles de stockage de chaleur exigent trop de temps d’arrêt en plus d’être onéreuses.
Contexte
Le Centre Mary-Pitt est l’un des plus grands édifices municipaux d’Ottawa. Il abrite plusieurs services de la Ville, des programmes municipaux et des services communautaires. Il comprend également une salle de serveurs énergivores qui supportent certaines des applications informatiques les plus névralgiques de la Ville.
Le défi consistait à améliorer l’efficacité énergétique et la capacité de refroidissement de la salle de serveurs sans perturber les opérations TI. Cependant, les méthodes traditionnelles de stockage de chaleur exigent trop de temps d’arrêt en plus d’être onéreuses.
Approche
Envari a travaillé avec le groupe énergétique de la Ville pour réaliser une étude de faisabilité et adopter une approche axée sur les données visant à optimiser l’efficacité énergétique.
Avant d’entreprendre le projet, il était déterminant de mesurer les charges de refroidissement, l’énergie consommée par les ventilateurs ainsi que la température et l’humidité dans la salle. Ces données de référence ont aidé à élaborer une solution rentable, contrôlée de façon pointue, qui permettrait d’économiser de l’énergie, de maintenir les conditions idéales pour l’équipement de la salle de serveurs et d’éviter de faire des changements infrastructurels majeurs.
Précédemment, le système CVC était contrôlé au moyen de trois capteurs de température, situés directement sur les climatiseurs de la salle informatique (CSI). Cette configuration causait un refroidissement excessif de la salle, selon les moyennes. Il aurait plutôt fallu un ajustement des températures directement aux serveurs.
La nouvelle solution utilise des capteurs de température situés à l’entrée de chaque armoire de serveurs. Des points de données supplémentaires fournissent des renseignements plus précis aux appareils de refroidissement. De plus, chaque appareil est maintenant équipé d’un variateur de fréquence. Ensemble, ces mesures donnent lieu à une approche plus ciblée et plus précise pour optimiser le refroidissement, la circulation de l’air et la distribution de l’air en fonction des besoins réels des serveurs.
Outre le fait qu’ils n’ont pas été invasifs, les travaux ont été réalisés dans le cadre d’une opération d’entretien déjà prévue, évitant ainsi de perturber davantage des services essentiels.
Approche
Envari a travaillé avec le groupe énergétique de la Ville pour réaliser une étude de faisabilité et adopter une approche axée sur les données visant à optimiser l’efficacité énergétique.
Avant d’entreprendre le projet, il était déterminant de mesurer les charges de refroidissement, l’énergie consommée par les ventilateurs ainsi que la température et l’humidité dans la salle. Ces données de référence ont aidé à élaborer une solution rentable, contrôlée de façon pointue, qui permettrait d’économiser de l’énergie, de maintenir les conditions idéales pour l’équipement de la salle de serveurs et d’éviter de faire des changements infrastructurels majeurs.
Précédemment, le système CVC était contrôlé au moyen de trois capteurs de température, situés directement sur les climatiseurs de la salle informatique (CSI). Cette configuration causait un refroidissement excessif de la salle, selon les moyennes. Il aurait plutôt fallu un ajustement des températures directement aux serveurs.
La nouvelle solution utilise des capteurs de température situés à l’entrée de chaque armoire de serveurs. Des points de données supplémentaires fournissent des renseignements plus précis aux appareils de refroidissement. De plus, chaque appareil est maintenant équipé d’un variateur de fréquence. Ensemble, ces mesures donnent lieu à une approche plus ciblée et plus précise pour optimiser le refroidissement, la circulation de l’air et la distribution de l’air en fonction des besoins réels des serveurs.
Outre le fait qu’ils n’ont pas été invasifs, les travaux ont été réalisés dans le cadre d’une opération d’entretien déjà prévue, évitant ainsi de perturber davantage des services essentiels.
Résultats
Le mesurage électrique préliminaire des trois appareils CSI indiquait une consommation d’énergie annuelle combinée de 697 000 kWh.
Envari a suivi le rendement énergétique durant trois mois après la mise en service et a signalé une réduction de 47 % de la quantité totale d’énergie nécessaire pour traiter l’air ambiant de la salle de serveurs.
La mise à niveau a également donné lieu à un meilleur indicateur d’efficacité énergétique (PUE, pour Power Usage Effectiveness), qui mesure l’énergie consommée pour conditionner un centre de données en entier par rapport à l’énergie consommée uniquement par les serveurs, par exemple. Précédemment, la valeur de l’indicateur du centre de données était de 1,48. Aujourd’hui, cette valeur est de 1,26, soit une amélioration de 15 %.
Autre avantage de cette mise à niveau : elle a été conçue pour être facilement réversible. Dans un environnement aussi sensible, la disponibilité des serveurs fait foi de tout. Par conséquent, en cas de pépin avec le nouveau système, l’équipe TI peut retourner à l’ancien système en quelques minutes à peine.
Enfin, la mise à niveau a augmenté la puissance de refroidissement, permettant à l’équipe TI d’ajouter plus d’équipement dans la salle en cas de besoin.
Résultats
Le mesurage électrique préliminaire des trois appareils CSI indiquait une consommation d’énergie annuelle combinée de 697 000 kWh.
Envari a suivi le rendement énergétique durant trois mois après la mise en service et a signalé une réduction de 47 % de la quantité totale d’énergie nécessaire pour traiter l’air ambiant de la salle de serveurs.
La mise à niveau a également donné lieu à un meilleur indicateur d’efficacité énergétique (PUE, pour Power Usage Effectiveness), qui mesure l’énergie consommée pour conditionner un centre de données en entier par rapport à l’énergie consommée uniquement par les serveurs, par exemple. Précédemment, la valeur de l’indicateur du centre de données était de 1,48. Aujourd’hui, cette valeur est de 1,26, soit une amélioration de 15 %.
Autre avantage de cette mise à niveau : elle a été conçue pour être facilement réversible. Dans un environnement aussi sensible, la disponibilité des serveurs fait foi de tout. Par conséquent, en cas de pépin avec le nouveau système, l’équipe TI peut retourner à l’ancien système en quelques minutes à peine.
Enfin, la mise à niveau a augmenté la puissance de refroidissement, permettant à l’équipe TI d’ajouter plus d’équipement dans la salle en cas de besoin.
Refroidissement et récupération de chaleur
Le Centre Mary-Pitt doit refroidir sa salle de serveurs à longueur d’année, mais depuis longtemps, la chaleur était rejetée à l’extérieur – et était donc perdue.
Étant donné que le bâtiment a un système de chauffage à air pulsé, il y avait donc une possibilité de récupérer cette chaleur gaspillée durant les mois d’hiver pour réduire les besoins en chauffage du bâtiment tout entier – et économiser sur la consommation de gaz naturel.
Envari a travaillé avec la Ville pour réaliser une étude de faisabilité, élaborer une solution, puis la mettre en service. Un nouveau refroidisseur de plus petite taille a été installé et configuré pour rediriger les rejets de chaleur dans les entrées d’air des appareils de traitement d’air.
En plus de réduire les émissions de GES et les frais d’énergie, cette mise à niveau contribue à prolonger la durée de vie des principaux refroidisseurs du bâtiment puisqu’il n’est plus nécessaire de les faire fonctionner autant qu’avant. Le nouveau refroidisseur peut en effet composer avec des charges de refroidissement à court terme, par exemple lors des redoux survenant en mars et novembre.
Par ailleurs, le nouveau système procure de la redondance supplémentaire en matière de refroidissement pour l’équipement TI névralgique de la Ville. C’est une protection de plus qui se traduit par une tranquillité d’esprit accrue.
Refroidissement et récupération de chaleur
Le Centre Mary-Pitt doit refroidir sa salle de serveurs à longueur d’année, mais depuis longtemps, la chaleur était rejetée à l’extérieur – et était donc perdue.
Étant donné que le bâtiment a un système de chauffage à air pulsé, il y avait donc une possibilité de récupérer cette chaleur gaspillée durant les mois d’hiver pour réduire les besoins en chauffage du bâtiment tout entier – et économiser sur la consommation de gaz naturel.
Envari a travaillé avec la Ville pour réaliser une étude de faisabilité, élaborer une solution, puis la mettre en service. Un nouveau refroidisseur de plus petite taille a été installé et configuré pour rediriger les rejets de chaleur dans les entrées d’air des appareils de traitement d’air.
En plus de réduire les émissions de GES et les frais d’énergie, cette mise à niveau contribue à prolonger la durée de vie des principaux refroidisseurs du bâtiment puisqu’il n’est plus nécessaire de les faire fonctionner autant qu’avant. Le nouveau refroidisseur peut en effet composer avec des charges de refroidissement à court terme, par exemple lors des redoux survenant en mars et novembre.
Par ailleurs, le nouveau système procure de la redondance supplémentaire en matière de refroidissement pour l’équipement TI névralgique de la Ville. C’est une protection de plus qui se traduit par une tranquillité d’esprit accrue.
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